Le blog de histoires-decoincees

 

 

LES DEUX ENGINS SORTENT DES SLIPS

 

 

A ce signal, Romain souleva son slip et alla dégager son gros gourdin qu’il exhiba aussitôt. Il plaça le slip sous ses burnes ce qui leur donna une apparence encore plus imposante. Et inévitablement il branla son engin. Le mouvement était lent mais régulier et assuré. 

 

Paul se leva alors et, enfin, vint s’asseoir face à Romain. Leurs regards trahissaient une excitation intense et le vice à l’état brut. Les deux Apollon remarquèrent à peine le claquement des vitres provoqué par un train qui les croisait en sens inverse. Paul ôta son polo violet découvrant un torse magnifiquement dessiné par des années de sport, et une couverture de poils bruns qui parachevait une virilité irrésistible. 

 

Sans se concerter les deux hommes crachèrent en même temps dans leur main branleuse, et débutèrent un astiquage en règle. 

 

Les membres étaient superbes. Raides comme des matraques. Les glands gonflés étaient désormais parfaitement décalottés. On pouvait voir du liquide sortir régulièrement et lubrifier les tiges. 

 

L’excitation des deux hommes atteignait son comble. Chacun mâtait l’autre pour accompagner sa branle. Les visages étaient rouges. Un souffle court se mêlait à des râles à peine assourdis. Le mouvement s’accéléra. Puis Paul saisit le premier son manche avec ses deux mains. Il se mit alors à les baiser comme s’il baisait une chatte ou un cul, impossible à dire. Il regarda un bref instant Romain pour lui faire comprendre de le suivre. Ce que s’empressa de faire le jeune homme.

 

Et là, tous les deux, ensemble, synchronisés comme deux champions d’aviron ou comme deux frères, se préparaient au final. La pression montait en chacun, et chacun regardait régulièrement l’autre afin d’être sûr de ne pas jouir avant lui.

 

Puis un ultime regard complice les informa que l’autre était prêt à lâcher la sauce, ce qu’ils firent dans une parfaite coordination. Deux jets puissants, accompagnés de râles graves, arrosèrent d’abord les mentons. Puis l’épaule opposée à la main branleuse fut copieusement aspergée. 

 

Les jets étaient abondants, déposant à chaque expulsion un gros paquet de foutre. Ce foutre qui avait été si difficilement contenu depuis le début de ce voyage. Le foutre arrosa aussi les ventres avant de se tarir. Leurs deux queues, légèrement ramollies, se couchèrent très lentement sur leurs ventres haletants. 

 

Transpirants, soufflants, les deux hommes se regardèrent dans les yeux. Un grand sourire complice illumina les deux visages. Toujours en silence. Ce silence qui, finalement, leur avait si bien réussi. 

 

Quand il eut repris son souffle et que son gros manche s’était enfin allongé sur son ventre, Paul commença à se redresser doucement. 

 

Romain le suivit dans un mouvement brusque. Comme si c’était encore trop tôt pour lui de quitter cet obscène partenariat. Il se pencha vers son partenaire, et sa main ramassa méticuleusement les nombreux paquets de foutre qui s’étalaient sur le corps brun de Paul. Chaque fois que sa main ne pouvait plus en ramasser davantage, il l’approchait de sa bouche en fixant Paul du regard et dégustait la récolte.

 

Quand Romain eut fini son travail, Paul, enhardi par le vice sans borne du jeune homme, fit de même. Quand la main de Paul passait sur le ventre du beau gosse, celui-ci durcissait ses abdos de plaisir.

 

Le ramassage terminé, Paul enfila son polo avant de se lever toujours en silence. Il releva son pantalon, s’assura que l’ensemble retrouvait un ajustement parfaitement professionnel, et regagna le siège où l’attendait le reste de ses affaires. Il ajusta sa casquette, chargea sa sacoche et avant de repartir, regarda Romain. 

 

Les deux hommes échangèrent un sourire complice. Paul déposa sur le siège de Romain une carte de visite, lui adressa un dernier clin d’œil et regagna l’avant du train.

 

Romain ramassa la carte, se rhabilla et réalisa que le terminus n’était plus très loin. Les vacances démarraient, pleines de promesses de nouvelles aventures. 

 

Message de l'auteur :

 

J'espère que la lecture de ce "jeune homme décoincé" vous aura fait autant vibrer que, pour moi, son écriture. Je vous prépare d'autres histoires, au gré de mes fantasmes et de mes pulsions... selon le temps que me laissera mon travail pour écrire. En vous abonnant (gratuitement) à la newsletter vous serez informés de la prochaine publication dès sa mise en ligne.


Vous pouvez toujours poster vos commentaires.


Pour une correspondance plus personnelle vous pouvez m'écrire à  :  histoires.decoincees@gmx.fr   


J'essaie de répondre dans des délais raisonnables. Merci encore de votre fidélité !

 

 

 

 

Sam 27 oct 2012 Aucun commentaire